Friday, February 4, 2011

Comment subtile, les mots dont vous parlez sont empreints de haine, encore lacés avec la douleur.

Parfois, je voudrais pouvoir vous étrangler, parfois, je voudrais qu'il soit, vous et moi, dans le couloir de la mort. Face à une vie de crime juste pour cette merveilleuse éclatement à court d'adrénaline. Plus enivrant que n'importe quelle drogue devant elle.
si le monde est beaucoup plus grande que la cage de votre petit verre ...
et si ensuite la gaieté de vos rêves ne peut comparer à la piété de vos espérances, que faites-vous quand les deux ne sont jamais et ne sont jamais les deux?
Je vous le dis, vous tombez, à plat sur votre visage, et prie le soleil de s'arrêter si brillant, la lune d'arrêter de tirer les marées, et la chute monde entier dormait à votre commande ... Chut.
Calme. Avez-vous entendu? il est appelé silence. La fin est venue pour nous deux. Je vous souhaite bonne nuit.

How subtle, the words you speak of are full of hatred, yet laced with pain.

Sometimes I wish I could strangle you, sometimes I wish it were you and me in the corridor of death. Facing a life of crime just for this wonderful short burst of adrenaline. More intoxicating than any drug before it. if the world is much bigger than your little glass cage ...
and then if the gaiety of your dreams can not compare to the piety of your expectations, what do you do when the two are forever and are never both?
I tell you, you fall flat on your face and asks if the sun stopped shining, the moon to stop pulling the tides, and falling world slept with your order ... Shhh.
Calm. Have you heard? It is called silence. The end has come for us both. I wish you good night.

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